Maajidyn De Seig Lyn
Une large place
Sam 26 Déc - 3:24
Le ciel du nord semblant constamment couvert, réduisant le soleil à un disque lumineux, les vent froid des montagne enneigées, la rudesse du langage commun.. Tout cela ne semble plus que souvenir lointain, ne pouvant exister dans le même monde que celui qui s'offre à la vue du jeune sorceleur à la peau brune qu'un pas, un unique pas en avant à travers un vortex magique as suffit a chambouler les sens. Les pieds ancrés sur une rue pavé, Maajidyn ne prend pas en compte les quelques exclamations surprises par son apparition, tout qu'il est assommer par son nouvel environnement.
L'architecture du sud n'est pas un mystère pour celui qui as vagabonder sur ces routes il y as de cela une dizaines d'année, personne cependant n'oserai comparer les bâtiments de Cintra ou Assengard à ceux de la capital, sous peine de craindre l'outrage tant ceux ci sont singuliers. De grandes tours faite de pierre blanche semble posées ça et là ou cours son regard, chacune ou presque de ces battisses arborant l'étoile aux seize branches en son sommet, faite d'or ou de métal y ressemblant fortement à cette distance. Aqueduc démesurés, rues larges comme un fleuves, monument dédiés aux savoir ou à la justice, tout ici semble trop grand, trop majestueux pour être des œuvres à la disposition de simples humains. Si les gens du nord voyant ce que ses yeux contemple en ce moment, peut être comprendrait-il la raison de leurs échec militaire. Qu'aurait pu faire un peuple logeant dans des habitations faite de torchis et de paille face aux descendant d'une race ayant ériger de tel monuments ? Rien si ce n'est compter sur la brutalité ou la foi en quelconque divinités impuissantes face à ceux qui ont le soleil pour gardien.
Il en faut pour ébahir un homme comme Maajidyn, en ce moment il y as de quoi. Il reprend pourtant vite consistance, souriant et saluant les passants sans doutes quelque peu surpris, bien plus par son accoutrement et son arme que sa couleur de peau dans une cité de cette importance ou le commerce amène régulièrement marchands étranger et autres diplomates. Une fois passé le choc du au paysage, le mutant prend le temps d'observer et de ressentir ce qui l'entour. L'odeur particulière d'une rivière -certainement L'Alba- coulant à moins d'un lieue de sa position, le style vestimentaire des badauds, bien plus léger que dans le nord, ainsi que les tonalités de la langues que les instructeurs de Kaer Morhen ont eu la merveilleuse idées de leurs enseigné à lui et ses camarades.
L'heure n'est pas au tourisme et bien que ce ne soit pas l'envie qui lui manque, le basané se doit d’exécuté la requête -blasphème, l'ordre- de son souverain. Il se dirige donc en direction de ce qui semble être, par la richesse de ses fioritures et la solennité qui s'en dégage, la palais impérial.
L'architecture du sud n'est pas un mystère pour celui qui as vagabonder sur ces routes il y as de cela une dizaines d'année, personne cependant n'oserai comparer les bâtiments de Cintra ou Assengard à ceux de la capital, sous peine de craindre l'outrage tant ceux ci sont singuliers. De grandes tours faite de pierre blanche semble posées ça et là ou cours son regard, chacune ou presque de ces battisses arborant l'étoile aux seize branches en son sommet, faite d'or ou de métal y ressemblant fortement à cette distance. Aqueduc démesurés, rues larges comme un fleuves, monument dédiés aux savoir ou à la justice, tout ici semble trop grand, trop majestueux pour être des œuvres à la disposition de simples humains. Si les gens du nord voyant ce que ses yeux contemple en ce moment, peut être comprendrait-il la raison de leurs échec militaire. Qu'aurait pu faire un peuple logeant dans des habitations faite de torchis et de paille face aux descendant d'une race ayant ériger de tel monuments ? Rien si ce n'est compter sur la brutalité ou la foi en quelconque divinités impuissantes face à ceux qui ont le soleil pour gardien.
Il en faut pour ébahir un homme comme Maajidyn, en ce moment il y as de quoi. Il reprend pourtant vite consistance, souriant et saluant les passants sans doutes quelque peu surpris, bien plus par son accoutrement et son arme que sa couleur de peau dans une cité de cette importance ou le commerce amène régulièrement marchands étranger et autres diplomates. Une fois passé le choc du au paysage, le mutant prend le temps d'observer et de ressentir ce qui l'entour. L'odeur particulière d'une rivière -certainement L'Alba- coulant à moins d'un lieue de sa position, le style vestimentaire des badauds, bien plus léger que dans le nord, ainsi que les tonalités de la langues que les instructeurs de Kaer Morhen ont eu la merveilleuse idées de leurs enseigné à lui et ses camarades.
L'heure n'est pas au tourisme et bien que ce ne soit pas l'envie qui lui manque, le basané se doit d’exécuté la requête -blasphème, l'ordre- de son souverain. Il se dirige donc en direction de ce qui semble être, par la richesse de ses fioritures et la solennité qui s'en dégage, la palais impérial.
Maître du jeu
Re: Une large place
Mer 13 Jan - 22:14
Maajidyn marcha longuement à travers la ville aux tours d'or et l'atmosphère cosmopolite qui s'en dégageait, il était très exact de dire qu'il n'avait rien vu de tel, et seuls les habitants de Novigrad, peut être de Wyzima, pouvaient se targuer d'avoir foulé les pavés d'une ville plus grande que Nilfgaard. L'activité grouillait, ne serait ce que grâce au port qui se trouvait non loin de là et qui abreuvait le Continent de merveilles exotiques venues d'Ophir et de Zangwebar par delà la Grande Mer. Sur le chemin, les gens le regardaient étrangement, il fallait dire qu'il n'avait à la fois pas l'apparence d'un noble, d'un nilfgaardien ni d'un nordling, et si les peuplades locales ne vouaient pas d'hostilité aux gens de sa couleur il n'en restait pas moins qu'ils n'avaient pas l'habitude d'en voir. Ainsi le jeune sorceleur récolta t-il des regards intrigués mus par une curiosité parfois malsaine ou exagérée, il put capter des regards méprisants aussi: les bouseux n'avaient pas forcément pignon sur rue à Nilfgard et c'était d'autant plus vrai que sa dégaine conjuguée à sa couleur de peau tendait à faire beaucoup pour certains esprits conservateurs qui n'était pas forcément en minorité dans la ville. Reste que tout le monde avait ici à faire et que le zerrikanien put arriver jusqu'au palais sans avoir à affronter plus que des regards un peu trop appuyés, ce qui n'avait au final rien d'étonnant considérant la bienséance de ces aristocrates ou de leurs servants.
Arrivé à sa destination, il put cosntater que l'édifice était à la hauteur du reste, et sans doute bien plus qu'à la hauteur: le gigantesque palace était affublé de fanions de Nilfgaard et du Grand Soleil, pour ce qui était de la prestance du lieu, difficile d'en dire plus: Maajidyn n'était guère un habitué des châteaux et sans doute ceux du Nord étaient ils tout aussi impressionnants. Restait que le bâtiment était comme l'on pouvait s'en douter (très) lourdement gardé par la puissante garde impériale: ceux là n'étaient pas de simples escadrons noirs.
La route du zerrikanien fut comme il s'en doutait stoppée par un des membres de la garde: on lui demandait la raison de sa visite.
Arrivé à sa destination, il put cosntater que l'édifice était à la hauteur du reste, et sans doute bien plus qu'à la hauteur: le gigantesque palace était affublé de fanions de Nilfgaard et du Grand Soleil, pour ce qui était de la prestance du lieu, difficile d'en dire plus: Maajidyn n'était guère un habitué des châteaux et sans doute ceux du Nord étaient ils tout aussi impressionnants. Restait que le bâtiment était comme l'on pouvait s'en douter (très) lourdement gardé par la puissante garde impériale: ceux là n'étaient pas de simples escadrons noirs.
La route du zerrikanien fut comme il s'en doutait stoppée par un des membres de la garde: on lui demandait la raison de sa visite.
- Maajidyn De Seig Lyn
Re: Une large place
Jeu 14 Jan - 9:09
Un peu plus de vingt printemps à foulé le sol du continent parait bien court pour le sorceleur chanceux comme l'est Maajidyn pourtant, le jeune homme sait présentement sans aucun doute que la bonne étoile qui brille sur lui est des plus lumineuse. Impossible d'avancer un chiffre mais le zerrikanien est certain que peu sont les Hommes à avoir pu contempler tant de chose dans une vie, vampire, géant, dragon des glaces bateau volant.. Il ne manquais à ses mirettes que l'œuvre faite de pierre et d'or que constitue la capitale impériale.
L'effervescence palpable des rues, les visages halés par le soleil du sud, les senteurs nouvelles venues des étales et autre brasseries, tout cela éclipse le malaise qu'aurait pu ressentir le basané face aux regards des passants - regards auquel il se trouve être déjà habité après une vie entière passé sur des terres n'étant pas celles de ses ancêtres- à qui il adresse sourires et salutations qu'importe le niveau d'insistance dans les yeux de ceux-ci. Il se sait membre d'une élite, d'un ordre sans âge au plus noble des rôles, créature né du savant mélange d'herbes secrètes, de puissantes magies et de la génétique hors-pairs nécessaires pour encaisser les premiers ingrédients.
Rien ne saurait l'atteindre au presque au moment ou ses pieds battent les pavés en direction de l'édifice prenant d'avantage d'ampleur à mesure que la perspective s'amenuise, "bâtiment si haut que l'ombre qu'il doit déployer pourrait atteindre le nord" se dit le mutant avant d'enfin baisser le regard pour constater le déploiement militaire qui en assure la protection.
Comme pour chacune des personnes ayant croisé sa route, le garde à le droit au plus lumineux des sourires lorsque son regard croise celui du sorceleur qui tire de sa ceinture la missive envoyer par leurs souverain quelques années auparavant.
-Salutations soldats, voici un papier qui devrait éclaircir la situation.
La lettre est tendu à l'homme qui lui fait face sans que son propriétaire ne cesse d'exhiber son éclatante risette, constatant par leurs apparences ainsi que leurs attitudes que la garde n'est impériale n'est pas faite du même bois que les sympathique bougres faisant le piquet sur les murailles de Kaer Morhen.
L'effervescence palpable des rues, les visages halés par le soleil du sud, les senteurs nouvelles venues des étales et autre brasseries, tout cela éclipse le malaise qu'aurait pu ressentir le basané face aux regards des passants - regards auquel il se trouve être déjà habité après une vie entière passé sur des terres n'étant pas celles de ses ancêtres- à qui il adresse sourires et salutations qu'importe le niveau d'insistance dans les yeux de ceux-ci. Il se sait membre d'une élite, d'un ordre sans âge au plus noble des rôles, créature né du savant mélange d'herbes secrètes, de puissantes magies et de la génétique hors-pairs nécessaires pour encaisser les premiers ingrédients.
Rien ne saurait l'atteindre au presque au moment ou ses pieds battent les pavés en direction de l'édifice prenant d'avantage d'ampleur à mesure que la perspective s'amenuise, "bâtiment si haut que l'ombre qu'il doit déployer pourrait atteindre le nord" se dit le mutant avant d'enfin baisser le regard pour constater le déploiement militaire qui en assure la protection.
Comme pour chacune des personnes ayant croisé sa route, le garde à le droit au plus lumineux des sourires lorsque son regard croise celui du sorceleur qui tire de sa ceinture la missive envoyer par leurs souverain quelques années auparavant.
-Salutations soldats, voici un papier qui devrait éclaircir la situation.
La lettre est tendu à l'homme qui lui fait face sans que son propriétaire ne cesse d'exhiber son éclatante risette, constatant par leurs apparences ainsi que leurs attitudes que la garde n'est impériale n'est pas faite du même bois que les sympathique bougres faisant le piquet sur les murailles de Kaer Morhen.
- Maître du jeu
Re: Une large place
Jeu 14 Jan - 18:04
Pas faite du même bois, c'était le mot, et considérant que la garde de Kaer Morhen était déjà constituée de bois précieux il appartenait à tout un chacun de trouver les superlatifs nécessaire à qualifier les membres de la garde impériale, encore ceux là devaient être tout en bas de l'échelon pour être envoyés ici à faire le planton. Restait que l'homme soutint le regard de Maajidyn sous son heaume, pas amusé pour deux sous: les hurluberlus cherchant à entrer ici pour des motifs fantasques n'étaient pas si rares et étaient le plus souvent jetés hors de la ville à grand coups de pied dans le derrière, aussi le garde regarda t-il attentivement la lettre tendue par Maajidyn afin de savoir si ce dernier serait un de ceux-là. Au vu de son contenu, il était clair qu'il finirait la journée avec le fessier intact. Le garde fit signe à un de ses collègues situés un peu plus loin de venir, il s'entretint un peu avec lui et lui confia la lettre avec laquelle le second garde s’enfonça dans le palais.
- Attendez ici. Lui ordonna le premier garde en revenant vers lui sans lui fournir de justification.
Il attendit plusieurs minutes, peut être dix, peut être un quart d'heure. Toujours est-il que moins de vingt minutes plus tard le compère du garde était revenu et vint s'adresser directement à Maajidyn.
- Suivez moi.
Il fut mené en un autre lieu, à l'intérieur du palais. https://continentem.forumactif.com/t1175-un-salon-dans-les-etages#39901
- Attendez ici. Lui ordonna le premier garde en revenant vers lui sans lui fournir de justification.
Il attendit plusieurs minutes, peut être dix, peut être un quart d'heure. Toujours est-il que moins de vingt minutes plus tard le compère du garde était revenu et vint s'adresser directement à Maajidyn.
- Suivez moi.
Il fut mené en un autre lieu, à l'intérieur du palais. https://continentem.forumactif.com/t1175-un-salon-dans-les-etages#39901
- Maajidyn De Seig Lyn
Re: Une large place
Ven 15 Jan - 5:04
L'hétéroclisme des apprentis sorceleurs résidant à Kaer Morhen, de tout horizons et cultures différentes, n'avais jamais jusqu'ici tapé dans l'œil du basané qui réalise qu'avec son allure de mercenaire sans le sous, la confiance qu'il doit inspirer au premier coup d'œil ne doit pas être des plus instinctives. Ainsi, au delà du professionnalisme exemplaire dont font preuve les hommes en armures, le zerrikanien comprend leurs méfiance en meme temps qu'il prend enfin compte de la situation. Il s'apprête à posé le pied dans un sanctuaire, à la fois siège du gouvernement et demeure du pape de cette Eglise dont les fidèles ont conquis le monde.
La nervosité tente de s'immiscer dans l'esprit de Maajidyn, brisant un palier dans la direction de celui-ci alors que les minutes défilent, chassant toutes envies de faire la conversation au gaillard chargé des entrées . Le mutant se doit d'être exemplaire dans sa conduite, autant pour sa propre sécurité que pour l'image de sa corporation. Laisser les blagues et autres traits d'esprit de coté, respecter un protocole dont il ignore les grandes lignes et dans aucun cas laisser sa nature taquine prendre possession de sa bouche. Il s'en sait capable mais afin de s'en assurer, se persuade qu'une Carmia furieuse se tient prête à lui décocher un direct dans la mâchoire à la moindre incartade.
Le stratagème contre lui même semble fonctionner tant le garçon se tiens droit et muet, se contentant d'attendre, ne prêtant même pas un regard au garde messager. C'est pourtant un soupir discret mais existant qui affaisse la poitrine du chasseur de monstre quand lui viens l'ordre d'emboiter le pas au garde, ce qu'il fait sans un mot.
La nervosité tente de s'immiscer dans l'esprit de Maajidyn, brisant un palier dans la direction de celui-ci alors que les minutes défilent, chassant toutes envies de faire la conversation au gaillard chargé des entrées . Le mutant se doit d'être exemplaire dans sa conduite, autant pour sa propre sécurité que pour l'image de sa corporation. Laisser les blagues et autres traits d'esprit de coté, respecter un protocole dont il ignore les grandes lignes et dans aucun cas laisser sa nature taquine prendre possession de sa bouche. Il s'en sait capable mais afin de s'en assurer, se persuade qu'une Carmia furieuse se tient prête à lui décocher un direct dans la mâchoire à la moindre incartade.
Le stratagème contre lui même semble fonctionner tant le garçon se tiens droit et muet, se contentant d'attendre, ne prêtant même pas un regard au garde messager. C'est pourtant un soupir discret mais existant qui affaisse la poitrine du chasseur de monstre quand lui viens l'ordre d'emboiter le pas au garde, ce qu'il fait sans un mot.
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